Les deux prix de recherche attribués par la Fondation du Rein en 2024 ont été annoncés et remis en public lors de la session plénière du congrès annuel de la Société Francophone de Néphrologie, Dialyse et Transplantation (SFNDT) le 2 octobre 2024 à Bordeaux.
Le Prix Gabriel Richet – Jeune chercheur 2024 a été attribué au Dr. Paulina Ximena Medina-Rangel, pour son projet de travail sur la « Sénescence des podocytes : Progression de la protéinurie vers la maladie rénale chronique », Unité “CoRaKiD” Inserm- Sorbonne Université UMR_S1155, Hôpital Tenon, AP-HP- Paris
Formée en France, le Dr. Paulina Ximena Medina-Rangel est actuellement chercheuse à l’Université de Yale, aux Etats-Unis, dans un excellent laboratoire. La lauréate réalisera son projet au sein de l’Unité « CoRaKiD » Inserm- Sorbonne Université UMR_S1155.
Contexte : Les maladies protéinuriques représentent près de 80 % des cas d’insuffisance rénale chronique (IRC). L’altération de la fonction et la perte des podocytes, des cellules très importantes des glomérules, sont à l’origine de la majorité des maladies protéinuriques. Les lésions podocytaires sont suivies d’altérations ultérieures dans les autres parties du rein, en particulier les tubules proximaux, qui jouent un rôle essentiel dans la progression de la maladie rénale chronique (MRC). Cependant, les mécanismes précis qui relient les lésions podocytaires aux lésions tubulaires restent obscurs, ce qui constitue un défi pour le développement de thérapies visant à empêcher la progression des maladies protéinuriques vers l’IRC.
Les reins jouent un rôle vital en filtrant notre sang pour éliminer les déchets et en régulant les niveaux d’eau et de sels dans notre corps. Cependant, ils peuvent se détériorer de manière accélérée, principalement en raison de problèmes tels que le diabète, l’hypertension artérielle, le vieillissement mais également les maladies auto-immunes. On parle alors de maladie rénale chronique (MRC). Ces MRC touchent des millions de personnes dans le monde, affectant jusqu’à 10 % de la population mondiale. Lorsque la MRC progresse jusqu’à l’insuffisance rénale terminale, elle nécessite dans la plupart des cas le recours à la dialyse ou la greffe de rein.
Lorsque les filtres des reins sont endommagés, les protéines nécessaires à notre corps peuvent fuir dans l’urine, ce qui peut conduire à des œdèmes et à la progression vers une maladie rénale chronique.
L’objectif principal du projet est de comprendre les mécanismes de cette progression. Son hypothèse est que les filtres du rein, les glomérules, peuvent subir un vieillissement prématuré lorsqu’ils sont lésés, déclenchant ainsi des processus délétères pour l’ensemble de l’organe. En identifiant ces processus de senescence accélérée des reins et en comprenant les signaux qui les déclenchent, il pourrait être possible de développer des moyens de prévenir la progression vers la maladie rénale chronique chez les patients.
Il existe une sénescence accélérée dans certaines maladies glomérulaires, et les podocytes relarguent des molécules, en particulier des protéases lysosomales qui impactent sur le phénotype du reste du néphron, notamment du tubule, et donc contribuer à un message pro-inflammatoire et pro-fibrosant.
Le Prix Michel Olmer sur la maladie rénale chronique 2024 a été attribué au Professeur Jean-Michel Halimi pour le projet « Mesure et ciblage de l’activation de la voie purinergique dans les microangiopathies thrombotiques (MAT) pour le diagnostic et la protection rénale », CHU de Tours, Inserm U 1327, Université de Tours
Contexte : Les microangiopathies thrombotiques (MAT) sont des maladies rares et graves dont le pronostic rénal est péjoratif. Par ailleurs, il n’y a pas de traitement pour 90 % des patients car les mécanismes de la MAT restent mal connus à ce jour.
Au cours des MAT, l’endothélium qui borde les vaisseaux sanguins est lésé et, active les récepteurs purinergiques (P2X, P2Y) et leurs voies de signalisation. Ces lésions de l’endothélium entrainent une ischémie des organes, parfois fatale. A ce jour, l’implication des voies purinergiques n’a jamais été étudiée. Leur mode d’activation et leur valeur comme marqueur pronostique ou comme cible thérapeutique n’ont pas été évalués chez les sujets ayant une MAT, quelle qu’en soit la cause.
L’équipe a récemment identifié le rôle important du récepteur P2Y11 dans un autre modèle d’ischémie d’organe et a montré que les récepteurs proinflammatoires P2X4 et P2X7 entrainent la libération de microvésicules qui peuvent jouer un rôle dans l’ischémie d’organes. Ils pourraient constituer de nouveaux biomarqueurs au cours des MAT.
L’objectif de ce projet est d’identifier l’implication exacte de l’activation de ces récepteurs purinergiques afin de proposer une protection d’organes à tous les patients ayant une MAT, quelle qu’en soit la cause.
Vous pouvez visionner la remise de ces deux prix de recherche par le Pr. Pierre-Louis Tharaux, Président du Conseil scientifique de la Fondation du Rein, aux deux lauréats, le Dr. Paulina Ximena Medina-Rangel et le Pr. Jean-Michel Halimi, à l’occasion du Congrès annuel de la SFNDT qui s’est déroulé le 2 octobre 2024 à Bordeaux en cliquant sur ce lien ou sur l’image ci-dessous.
En cette Journée nationale de réflexion sur le don d’organes et la greffe, et de reconnaissance aux donneurs du 22 juin, la Fondation du Rein se joint à l’Agence de la biomédecine, qui supervise toutes les greffes en France, pour inviter tous nos compatriotes à dire à leurs proches s’ils sont donneurs d’organes après leur mort. La grande majorité de la population (80 %) est favorable à ce don, 91 % pensent qu’il est important de faire part de sa position à ses proches, mais seulement 47 % en ont effectivement parlé. Pourtant, cet échange est vital. Si le sujet n’avait jamais été abordé, dans le doute, les proches rapportent par prudence une opposition, si bien que 1 prélèvement sur 3 est ainsi empêché. Autant de vies qui auraient pu être sauvées qui ne le sont pas, sachant que 5 à 7 personnes peuvent bénéficier d’une greffe d’organe vitale, pour chaque donneur décédé prélevé.
Mais on peut aussi donner un rein de son vivant. C’est ce qu’a fait notre Président d’Honneur, Richard Berry, pour sa sœur Marie. Le don du vivant est le don le plus efficace en matière de transplantation rénale, puisque celle-ci peut être préemptive, réalisée dès que la dialyse devient nécessaire, donc en l’évitant.
Pour tout savoir sur le don d’organes, rendez-vous sur le site https://www.dondorganes.fr/
Le samedi 8 juin 2024 s’est déroulé le Colloque “Les Reins, vitaux… et si peu connus…” qui a traité du fonctionnement des reins, des maladies dont ils sont affectés et de leurs conséquences, notamment quand elles deviennent chroniques. Ce colloque, placé sous le haut patronage de Monsieur Frédéric Valletoux, ministre délégué chargé de la Santé et de la Prévention, était organisé à la Maison de la Chimie par la Fondation du Rein, en partenariat avec la Société Francophone de Néphrologie, Dialyse et Transplantation (SFNDT), des néphrologues et des transplanteurs, et l’association de patients France Rein. Nous remercions spécialement Messieurs Jean-Michel Aubrun et Hervé Michel-Dansac de la société MCD Promotion qui nous ont aidés à l’organiser.
Aujourd’hui, 6.000.000 de personnes vivant en France sont concernées par les maladies rénales chroniques et la moitié ne le savent pas, alors que des mesures de prévention simples permettraient de préserver leur capital-rein. Prises à temps grâce à un dépistage précoce, nombre de formes graves pourraient être enrayées.
Parmi elles, 51.000 patients doivent être traités pour vivre par la dialyse et 41.000 par la transplantation rénale. Plus de 3.000 greffes de rein sont pratiquées chaque année en France ; ce nombre est encore insuffisant par rapport à celui des personnes en attente de greffe ! Après l’ouverture de ce colloque par notre Vice-Président, M. Thierry Dassault, des patients ont témoigné de ce qu’ils vivaient au quotidien, et des néphrologues, des chercheurs et des transplantes ont répondu aux questions du public très attentif et intéressé. Ainsi, le Pr Christian Combe, Président de la Fondation du Rein, Chef du Service de Néphrologie Transplantation Dialyse Aphérèses du CHU de Bordeaux, a expliqué les différents rôles des reins, le Pr Pierre-Louis Tharaux, Directeur de Recherche INSERM et Président du Conseil Scientifique de la Fondation du Rein, a donné les grands axes de la recherche dans les maladies rénales, le Pr Emmanuel Morelon, Chef de service du Service de Transplantation – Néphrologie et Immunologie clinique à l’Hôpital Edouard Herriot, Hospices Civils de Lyon, a précisé les évolutions récentes et à venir de la transplantation rénale, tandis que des échanges avec un regard croisé “patient-médecin” ont permis d’aborder la façon de vivre avec une maladie rénale chronique. avec M. Aziz Aberkane, Patient Partenaire représentant l’association France Rein, et le Pr François Vrtovsnik, Président de la Société Francophone de Néphrologie Dialyse Transplantation, et Chef du Service de Néphrologie, Hôpital Bichat, AP-HP Nord et Université Paris Cité. Enfin, le Dr. Lucile Figuères, déjà lauréate en 2018 du “Prix Jeune Chercheur Gabriel Richet”, a présenté les travaux de son équipe du Centre de Recherche en transplantation et Immunologie translationnelle (CR2TI) affilié à l’Inserm et à Nantes Université, qui pourront être financés par la Fondation du Rein grâce à ce colloque.
Ce dernier était ouvert au public et libre d’accès. Il a été suivi d’un cocktail de clôture dans les salons de la Maison de la Chimie, en présence des conférenciers.
Les personnes, qui n’ont pas pu venir et qui le souhaitent, peuvent visionner la vidéo de ce colloque en cliquant sur ce lien.
Vous pouvez également cliquer sur l’image ci-dessous pour consulter le programme.
Vous trouverez ci-dessous quelques photographies prises au cours de ce colloque et au cours du cocktail de clôture.
La 19ème Journée Mondiale du Rein a eu lieu le jeudi 14 mars 2024. Le thème retenu par la Fédération Internationale des Fondations du Rein (International Federation of Kidney Foundations – IFKF) pour l’édition 2024 était “La santé rénale pour tous : Promouvoir un accès équitable aux soins et une utilisation optimale des médicaments” et en anglais “Kidney health for all: Advancing equitable access to care and optimal medication practice”. La campagne du 14 mars 2024 a été centrée sur les efforts à faire pour maintenir cette bonne santé rénale pour tous en donnant l’accès aux soins et aux nouvelles thérapeutiques.
Au cours des trois dernières décennies, les efforts de traitement de la maladie rénale chronique (MRC) se sont concentrés sur la préparation et la mise en œuvre de thérapies de remplacement rénal.
Les récentes avancées thérapeutiques offrent des possibilités inédites de prévenir ou de retarder la maladie et d’atténuer les complications telles que les maladies cardiovasculaires et l’insuffisance rénale, prolongeant ainsi la qualité de vie des personnes atteintes de MRC. Alors que ces nouvelles thérapies devraient être accessibles à tous les patients, dans tous les pays et tous les environnements, des obstacles tels que le manque de sensibilisation à la MRC, le manque de connaissances ou de confiance dans les nouvelles thérapies, la pénurie de spécialistes des maladies rénales et le coût des traitements contribuent à de profondes disparités dans l’accès aux traitements, en particulier dans les pays à faibles revenus, mais aussi dans certains pays à revenus élevés. Ces inégalités soulignent la nécessité de mettre l’accent sur la sensibilisation à la MRC et sur le développement des compétences du personnel de santé.
Le mercredi 13 mars 2024 a eu lieu le Colloque de la Journée Mondiale du Rein organisé par la Fondation du Rein à l’Académie nationale de Médecine, en partenariat avec la Société francophone de néphrologie, dialyse et transplantation (SFNDT) et les associations de patients. Le lendemain ont eu lieu des opérations de dépistage gratuit sur tout le territoire en partenariat avec la Fondation du Rein, les réseaux de santé comme Rénif, l’Académie nationale de Pharmacie et l’association de patients France Rein.
Soulignons le rôle précieux des Laboratoires d’analyses biologiques Biogroup et Cerballiance qui ont réalisé un dosage gratuit de la créatinine sanguine et du rapport albumine sur créatinine sur une miction (RAC) pendant cette Journée Mondiale du Rein 2024, comme le recommande la Haute autorité en santé (HAS).
Le colloque “La santé rénale pour tous : De la prévention à l’accès aux soins et aux traitements pour tous” était organisé dans l’après-midi par la Fondation du Rein, en partenariat avec la Société Francophone de Néphrologie, Dialyse et Transplantation, l’association France Rein, l’association Rénif, l’Académie nationale de Médecine et l’Académie nationale de Pharmacie.
Il était libre d’accès au public et vous pouvez visualiser les communications et les vidéos de ce colloque en cliquant sur ce lien, si vous n’avez pas pu nous rejoindre physiquement à l’Académie nationale de médecine.
Vous pouvez aussi télécharger le programme de 2024 en cliquant sur l’image ci-dessous, et visionner les actes de ce colloque (présentations des orateurs) en cliquant sur ce lien.
Parallèlement, du 9 à 16 mars 2024, des journées d’information et de dépistage des maladies rénales ont eu lieu sur tout le territoire national, en partenariat particulièrement avec France Rein dans le cadre de la Semaine Nationale du Rein, en partenariat avec la Fondation du Rein.
Vous pouvez télécharger le communiqué de presse en cliquant sur ce lien ou l’image ci-dessous.
Chercheurs, vous pouvez dès maintenant répondre aux appels à projets 2024 de la Fondation du Rein, le « Prix Michel Olmer » sur la maladie rénale chronique, et le « Prix Jeune Chercheur – Gabriel Richet » en recherche translationnelle pour un montant chacun de 30.000 €. Vous pouvez télécharger les dossiers et formulaires en cliquant sur cette page.
La clôture du dépôt des dossiers est le 30 avril 2024 avant minuit. Les résultats de l’évaluation et la notification aux candidats seront dans la 2ème semaine de septembre 2024. La remise de la subvention aura lieu lors du Congrès de la Société Francophone de Néphrologie, Dialyse et Transplantation (SFNDT) d’octobre 2024 à Bordeaux.
Nous tenons à remercier toutes celles et tous ceux qui font des dons au profit de la Fondation du Rein abritée par la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM), en envoyant un chèque à Fondation du Rein/FRM, 54 rue de Varenne 75007 Paris ou en faisant un don sur https://fondation-du-rein.org/faire-un-don/.
Ces dons permettent de développer des programmes de recherche sur les maladies rénales et leurs traitements, y compris en matière de dialyse et de greffe rénale.
Nos pensées vont vers son épouse, Marie-Claire, et celle de leurs trois enfants, Matthieu, Bénédicte et Jean-Baptiste, et de leurs petits-enfants, Paul, Alice, Capucine, Léon, Maxime, Gabin, Camille et Charles.Ses obsèques religieuses ont été célébrées le mercredi 15 novembre 2023 en l’église Sainte-Trinité de Bois-Guillaume.
Le Gala de la Fondation du Rein est destiné à récolter des fonds pour la recherche sur les maladies rénales, la dialyse et la greffe Vous pouvez, si vous le désirez, continuer à soutenir la Fondation du Rein en faisant un don en cliquant sur ce lien. Nous vous remercions de votre générosité.
Le jeudi 9 mars 2023 a eu lieu la 18ème Journée Mondiale du Rein, destinée à informer le grand public sur l’importance des maladies rénales et leur prévention. La campagne d’information orientée vers le grand public, les gouvernements et instances dirigeantes, sans oublier les professionnels de santé, était centrée sur les efforts à réaliser pour protéger les plus vulnérables des maladies rénales, par la prévention, l’éducation thérapeutique et le traitement des maladies rénales, qu’il concerne la dialyse ou la greffe rénale.
Parallèlement et dans ce cadre, pour la 18ème année consécutive, France Rein a organisé du 4 au 11 mars 2023 la Semaine Nationale du Rein. Partout en France, des lieux de dépistage et d’information gratuits étaient ouverts. La liste des lieux d’information et de dépistage était en ligne sur le site de France Rein. “2023 : Une bonne santé rénale pour tous ! Se préparer à l’imprévisible, maîtriser la vulnérabilité”, telle était la thématique de cette 18ème Semaine Nationale du Rein. En effet, 6 millions de personnes en France ont les reins malades et l’ignorent. Lorsqu’elles s’en rendent compte, il est souvent trop tard. C’est pourtant en s’informant sur ces pathologies et les risques qui y sont associés et en se faisant dépister qu’il est possible de retarder, voire d’éviter l’insuffisance rénale. Le surpoids, le diabète et l’hypertension artérielle sont autant de facteurs aggravants.
Cette Semaine Nationale du Rein a été déclinée au travers de rencontres et de colloques, organisés dans le réseau France Rein en partenariat avec la Société francophone de néphrologie, dialyse et transplantation (SFNDT), Rénif et la Fondation du Rein.
Le Prix de la Fondation du Rein a été attribué cette année à deux lauréats, le Pr Christophe Legendre, Service de Néphrologie et Transplantation rénale adulte, Hôpital Necker, pour sa contribution exceptionnelle dans le domaine de la transplantation rénale, et le Pr Sophie de Seigneux Matthey (Hôpitaux Universitaires de Genève) pour ses recherches sur la physiopathologie et le suivi de l’insuffisance rénale chronique.
Le lauréat du Prix Gabriel Richet – Jeune Chercheur est le Dr Mickaël Bobot (Hôpital de la Conception, CHU de Marseille) pour son projet de travail sur le “Rôle des toxines urémiques et d’aryl hydrocarbon receptor dans la sévérité des accidents vasculaires cérébraux au cours de la maladie rénale chronique”.
La lauréate du Prix Michel Olmer sur la maladie rénale chronique est le Dr Solène Laville (Centre Universitaire de Recherche en Santé, CHU Sud, Amiens), pour son projet de travail sur le “Lien entre concentrations sanguines de magnésium et évènements cardiovasculaires chez les patients atteints de maladie rénale chronique dans la cohorte CKD-REIN”.
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Le Conseil de Fondation félicite chaleureusement les lauréats 2022-2023 qui ont reçu leur prix lors du Gala de la Fondation du Rein du 8 mars à la Salle Gaveau.
Patients et Professionnels de santé
Découvrez nos témoignages
Née en 2002 à l’initiative de professionnels de santé et de patients souffrant d’une maladie rénale et de leurs familles,
la Fondation du Rein est abritée par la Fondation pour la Recherche Médicale. Elle souhaite :
– Financer des projets de recherche sur les maladies rénales, la dialyse et la greffe,
– Développer la prévention de ces maladies, par l’information et le dépistage précoce,
– Inciter au don de rein,
– Aider les patients à mieux vivre avec leur maladie.